Au fil de notre voyage en Asie, nous avons rencontré pleins de gens qui nous avait mentionné que le nord du Vietnam était une région très belle pour ses paysages, sa nature, mais que le contact avec les gens était difficile et que ce n’était pas facile de voyager dans cette région. Le mot d’ordre passé par nos amis était « Dans le nord du Vietnam il faut passé par des agences, s’organiser tout seul relève de l’exploit olympique et entraine beaucoup de frustrations. » Évidemment nous les avons écouter, mais nous n’allions quand même pas nous empêcher d’aller visiter ses splendeurs pour quelques personnes qui ont eu des mésaventures… Nous étions cependant très loin de se douter que les mésaventures feraient alors partie de notre quotidien….
Le tout a débuter par la traversée entre Vientianne (Laos) et Hanoi (Vietnam). Nous avions choisi de faire le trajet en bus pour être plus dans notre budget (bus = 8X moins cher que l’avion). On savait que la traversée serait une épreuve car on avait vécu les transports au Laos, et le trajet prévu durerait près de 24 heures. On a alors mis le paquet et choisi un bus VIP… hi!hi!hi Le VIP voulait seulement dire avec air climatisé (donc pas de toilette, pas de TV, pas beaucoup d’espace entre les bancs, mais au moins nos sacs ne sont pas sur le toit du bus!).
Ayant appris de nos expériences précédentes sur le remplissage des bus au Laos, nous sommes donc arrivés 2 heures avant l’heure de départ pour pouvoir choisir nos places. On a alors fait face à notre premier contact avec ce système Vietnamien à deux vitesses : la vitesse pour les Vietnamiens et celle pour les étrangers. En arrivant un jeune arrogant (qui était Vietnamien), nous bouscule à porter nos sacs sous l’autobus, puis nous bouscule à entrer dans le bus. Ne parlant pratiquement pas anglais il nous prend par le bras et nous tire jusqu’à l’arrière complètement de l’autobus. Jean-Hugues réplique rapidement et refuse catégoriquement (heureusement) de s’asseoir au dernier rang à cinq bancs. L’autobus est complètement vide… pourquoi ne pourrait-on pas avoir une place vers l’avant??? A force de caractère il réussit à nous faire asseoir au troisième banc, à partir de l’arrière... On ne comprend pas vraiment pourquoi, mais ils ont forcé tout les voyageurs étrangers à s’asseoir à l’arrière et tout les Vietnamiens sont assis à l’avant. En plus de se voir assigner un siège, ils ont mis des boîtes sous tous les bancs, se qui signifie que nos grandes jambes de blancs becs canadiens ne pourront jamais se déplier… Grrrr on se sent déjà aggressé, aggressant… Le seul point positif à cette situation, c’est qu’on fait la rencontre d’autres voyageurs bien sympathiques, on n’est donc une dizaine ensemble pour traverser cette épreuve.
Après 2 heures d’attente le bus est plein, les Vietnamiens à l’avant, les étrangers forcés à l’arrière. On part à 7h30 pm. La route est plus belle qu’entre Luang Nam Tha et Luang Prabang et l’autobus roule à bonne vitesse, négociant bien les nombreuses courbes et à mesure que la nuit tombe prend possession des deux voies de la route. Après quelques heures on fait un premier pipi stop et souper stop. Un truc stop à la Loas, des toilettes asiatiques (un trou) qui puent l’urine et un petit resto où on peut manger la traditionnelle noodle soup. On repart pour un autre strech. Après 2 heures, un autre pipi stop. Cette fois-ci sur le bord du chemin. Les hommes s’alignent au bord du chemin, alors que les femmes ont tente de trouver un peu d’intimité, mais sans trop de succès. Heureusement il fait nuit. On reprend la route sillonneuse. Jean-Hugues arrive à dormir, alors que je somnole, mais ne trouve pas de vrai sommeil. Vers 2h00 am, on s’arrête complètement. On ne sait pas trop ce qui se passe, mais on réalise trop tard qu’on est arrêté dans un hotel jusqu’à 6h00 am. On a alors compris une des raisons pourquoi ils ont assis les Vietnamiens à l’avant… ils ont pu sortir rapidement de l’autobus et se louer une chambre pour dormir. Quand on a compris qu’on ne repartait pas avant 6h00, il était trop tard, toutes les chambres étaient prises. Tant pis, on voulait faire ça économe… Le problème est que lorsque l’autobus est arrêté, l’air climatisé aussi est arrêté. En très peu de temps l’autobus était un four où l’air était suffoquant. Jean-Hugues que je surnomerais l’ours hibernateur, à réussi à dormir dans ces conditions. Pour ma part s’était impossible. Je me suis donc ramasser à l’extérieur, sur une petite table en ciment à lire et à me faire observer et prendre mon livre par les monsieurs vietnamiens qui eux aussi ne dormaient pas. L’autre désagrément de ce stop, c’est qu’ils stationnent 2 autobus pleins dans un endroit sans toilette… c’est quoi… ils n’ont jamais envie??? La nuit fut longue, mais à 6h00 on repart.
Après moins d’une heure de route on arrive au poste frontalier. Première étape sortir du Laos. Vous auriez du voir ça, tout les vietnamiens (car finalement il n’y avait pas de Laotiens dans l’autobus) se bousculent et nous bousculent pour être les prochains à donner leur passeport. Les systèmes de file indienne ne font pas partie de leur culture. Ils entrent complètement dans nos bulles et ne se gênent pas pour nous dépasser. Peu importe on sait que lorsqu’ils auront fini, on pourra alors passé plus calmement. Évidemment on se fait demander des supposés frais par les douaniers… mais personne n’est en position pour répliquer et ce n’est qu’un dollars...
On doit ensuite marcher pour se rendre à la douane du Vietnam. À l’intérieur le même scénario se répète, 1$ pour avoir tel formulaire, un autre pour ravoir notre passeport… bref on se demande bien où va cet argent. Tout le monde passe la douane, mais on doit alors attendre l’autobus. C’est long… près de 2 heures à attendre avant de voir l’autobus traverser. Ils fouillent tout. On doit donc récupérer nos gros sacs et les passer au rayon X. Finalement on entre dans le bus et là on a compris une autre raison pour laquelle on était tous assis à l’arrière. Les sacs laissés ont été fouillés (heureusement on avait tous nos précieux, dont l’ordinateur avec nous). Une anglaise réalise alors qu’il lui manque son lecteur DVD. Elle se met donc à chercher et le retrouve dernière le banc du chauffeur! Facile de mettre tous les touristes ensemble pour savoir où sont leurs choses… Évidemment l’anglaise s’en ait voulu de ne pas l’avoir amener avec elle, et nous avons été bien content d’avoir tout amener. Il faut savoir qu’en quittant l’autobus on pensait qu’on allait y retourner plus rapidement.
Nous avons donc finalement repris la route. Les paysages changent quelque peu. Les montagnes cèdent place aux plaines de rizières. Les maisons sont très différentes et caractéristiques du Vietnam. Elles sont toutes faites en hauteur. Une belle devanture, de 3 à 5 étages, mais de la largeur d’une seule pièce. Il n’y a aucune, ou de toutes petites, fenêtres sur les côtés. Le tout en béton, avec des inscriptions datant de 2005, 2007… démontrant un Vietnam en construction et en expansion. Notre autobus VIP s’est alors transformé en autobus local, c’est-à-dire en autobus qui s’arrête partout pour embarquer et faire descendre des gens. En plus de ses nombreux arrêts nous avons aussi été pris dans un bouchon de circulation causé par une mauvaise gestion de zones de constructions. Notre chauffeurs se transforme graduellement en fou au volant et zigzag partout, klaxonne comme s’il jouait du tam tam, il ne semble avoir aucune crainte et passe partout. C’est assez épeurant, le seul réconfort c’est la ceinture de sécurité.
En route on peut lire dans le Lonely Planet la section historique sur le Vietnam. Un bien petit pays qui depuis tous les temps vit la guerre pour ne pas se faire envahir. Le Chinois, les Français, puis les Américains. Un pays divisé en deux : le nord communiste et le sud démocratique. Aujourd’hui il tente d’être unifier, mais les cicatrices sont profondes. Un homme, Ho Chi Min (oncle Ho) est sur tout les billets et est à l’origine du nord communiste. En lisant toutes ces informations on veut alors être plus concilient envers se peuple qui ouvre nouvellement ses portes au monde. On se rend bien compte qu’ils ont une histoire et une culture qui leur est propre et probablement que leurs coutumes nous sont vraiment étrangères. Nous arrivons finalement à bon port il est 20h30. Nous avons fait 25 heures de bus et nous avons survécu!!! On se fait organiser un transport jusqu’à un hotel dans les vieux cartiers d’Hanoi. Est-ce que le 1,5$ pour le trajet est trop cher (car on est 10 dans le mini-van) peu importe, on est affamé, fatigué et on ne rêve que de changer de sous-vêtement et de brosser nos dents.
On s’installe donc et on part à la découvert d’Hanoi. Marché de nuit, petits restaurants où on goutte à nos premiers rouleaux du printemps si typique du pays. On peu enfin décompressé, on est rendu à bon port et on a un toit sur notre tête.
Dès le lendemain on part à la recherche de l’ambassade de la Thaïlande pour avoir un nouveau visa (en prévision de notre retour à Bangkok) Ça nous permet de marcher dans les rues de la ville. C’est vraiment particulier de voir comment les commerçants se regroupe dans les rues pour vendre les mêmes produits. Ainsi il y a la rue des matelas, la rue des sandales, la rues des robes en soie, la rue des faire-parts. Les rues sont très animées, il y a des motocyclettes partout et la signalisation est presque inexistante. Le klaxon est probablement la pièce la plus importante sur leur engin. Le bruit est aggressant et ce n’est pas facile de trouver de la tranquillité. La vieille ville est quand même très intéressante son lac en plein centre la rend charmante. La citadelle avec ses trous formés par des boulets rappelle que c’est une ville qui a vu beaucoup de sang coulé. On va au petit restaurant local, et on expérimente encore une fois la deuxième vitesse du vietnam, on doit payé 2X le prix… On magasine les agences car on veut trouver quelqu’un qui nous permettrait d’aller visiter Sapa (dans le nord ouest) en moto. On réalise bien vite que notre trajet de rêve est non réalisable dans le laps de temps que l’on dispose. Tant pis, on ira en train et on s’organisera sur place.
Le tout a débuter par la traversée entre Vientianne (Laos) et Hanoi (Vietnam). Nous avions choisi de faire le trajet en bus pour être plus dans notre budget (bus = 8X moins cher que l’avion). On savait que la traversée serait une épreuve car on avait vécu les transports au Laos, et le trajet prévu durerait près de 24 heures. On a alors mis le paquet et choisi un bus VIP… hi!hi!hi Le VIP voulait seulement dire avec air climatisé (donc pas de toilette, pas de TV, pas beaucoup d’espace entre les bancs, mais au moins nos sacs ne sont pas sur le toit du bus!).
Ayant appris de nos expériences précédentes sur le remplissage des bus au Laos, nous sommes donc arrivés 2 heures avant l’heure de départ pour pouvoir choisir nos places. On a alors fait face à notre premier contact avec ce système Vietnamien à deux vitesses : la vitesse pour les Vietnamiens et celle pour les étrangers. En arrivant un jeune arrogant (qui était Vietnamien), nous bouscule à porter nos sacs sous l’autobus, puis nous bouscule à entrer dans le bus. Ne parlant pratiquement pas anglais il nous prend par le bras et nous tire jusqu’à l’arrière complètement de l’autobus. Jean-Hugues réplique rapidement et refuse catégoriquement (heureusement) de s’asseoir au dernier rang à cinq bancs. L’autobus est complètement vide… pourquoi ne pourrait-on pas avoir une place vers l’avant??? A force de caractère il réussit à nous faire asseoir au troisième banc, à partir de l’arrière... On ne comprend pas vraiment pourquoi, mais ils ont forcé tout les voyageurs étrangers à s’asseoir à l’arrière et tout les Vietnamiens sont assis à l’avant. En plus de se voir assigner un siège, ils ont mis des boîtes sous tous les bancs, se qui signifie que nos grandes jambes de blancs becs canadiens ne pourront jamais se déplier… Grrrr on se sent déjà aggressé, aggressant… Le seul point positif à cette situation, c’est qu’on fait la rencontre d’autres voyageurs bien sympathiques, on n’est donc une dizaine ensemble pour traverser cette épreuve.
Après 2 heures d’attente le bus est plein, les Vietnamiens à l’avant, les étrangers forcés à l’arrière. On part à 7h30 pm. La route est plus belle qu’entre Luang Nam Tha et Luang Prabang et l’autobus roule à bonne vitesse, négociant bien les nombreuses courbes et à mesure que la nuit tombe prend possession des deux voies de la route. Après quelques heures on fait un premier pipi stop et souper stop. Un truc stop à la Loas, des toilettes asiatiques (un trou) qui puent l’urine et un petit resto où on peut manger la traditionnelle noodle soup. On repart pour un autre strech. Après 2 heures, un autre pipi stop. Cette fois-ci sur le bord du chemin. Les hommes s’alignent au bord du chemin, alors que les femmes ont tente de trouver un peu d’intimité, mais sans trop de succès. Heureusement il fait nuit. On reprend la route sillonneuse. Jean-Hugues arrive à dormir, alors que je somnole, mais ne trouve pas de vrai sommeil. Vers 2h00 am, on s’arrête complètement. On ne sait pas trop ce qui se passe, mais on réalise trop tard qu’on est arrêté dans un hotel jusqu’à 6h00 am. On a alors compris une des raisons pourquoi ils ont assis les Vietnamiens à l’avant… ils ont pu sortir rapidement de l’autobus et se louer une chambre pour dormir. Quand on a compris qu’on ne repartait pas avant 6h00, il était trop tard, toutes les chambres étaient prises. Tant pis, on voulait faire ça économe… Le problème est que lorsque l’autobus est arrêté, l’air climatisé aussi est arrêté. En très peu de temps l’autobus était un four où l’air était suffoquant. Jean-Hugues que je surnomerais l’ours hibernateur, à réussi à dormir dans ces conditions. Pour ma part s’était impossible. Je me suis donc ramasser à l’extérieur, sur une petite table en ciment à lire et à me faire observer et prendre mon livre par les monsieurs vietnamiens qui eux aussi ne dormaient pas. L’autre désagrément de ce stop, c’est qu’ils stationnent 2 autobus pleins dans un endroit sans toilette… c’est quoi… ils n’ont jamais envie??? La nuit fut longue, mais à 6h00 on repart.
Après moins d’une heure de route on arrive au poste frontalier. Première étape sortir du Laos. Vous auriez du voir ça, tout les vietnamiens (car finalement il n’y avait pas de Laotiens dans l’autobus) se bousculent et nous bousculent pour être les prochains à donner leur passeport. Les systèmes de file indienne ne font pas partie de leur culture. Ils entrent complètement dans nos bulles et ne se gênent pas pour nous dépasser. Peu importe on sait que lorsqu’ils auront fini, on pourra alors passé plus calmement. Évidemment on se fait demander des supposés frais par les douaniers… mais personne n’est en position pour répliquer et ce n’est qu’un dollars...
On doit ensuite marcher pour se rendre à la douane du Vietnam. À l’intérieur le même scénario se répète, 1$ pour avoir tel formulaire, un autre pour ravoir notre passeport… bref on se demande bien où va cet argent. Tout le monde passe la douane, mais on doit alors attendre l’autobus. C’est long… près de 2 heures à attendre avant de voir l’autobus traverser. Ils fouillent tout. On doit donc récupérer nos gros sacs et les passer au rayon X. Finalement on entre dans le bus et là on a compris une autre raison pour laquelle on était tous assis à l’arrière. Les sacs laissés ont été fouillés (heureusement on avait tous nos précieux, dont l’ordinateur avec nous). Une anglaise réalise alors qu’il lui manque son lecteur DVD. Elle se met donc à chercher et le retrouve dernière le banc du chauffeur! Facile de mettre tous les touristes ensemble pour savoir où sont leurs choses… Évidemment l’anglaise s’en ait voulu de ne pas l’avoir amener avec elle, et nous avons été bien content d’avoir tout amener. Il faut savoir qu’en quittant l’autobus on pensait qu’on allait y retourner plus rapidement.
Nous avons donc finalement repris la route. Les paysages changent quelque peu. Les montagnes cèdent place aux plaines de rizières. Les maisons sont très différentes et caractéristiques du Vietnam. Elles sont toutes faites en hauteur. Une belle devanture, de 3 à 5 étages, mais de la largeur d’une seule pièce. Il n’y a aucune, ou de toutes petites, fenêtres sur les côtés. Le tout en béton, avec des inscriptions datant de 2005, 2007… démontrant un Vietnam en construction et en expansion. Notre autobus VIP s’est alors transformé en autobus local, c’est-à-dire en autobus qui s’arrête partout pour embarquer et faire descendre des gens. En plus de ses nombreux arrêts nous avons aussi été pris dans un bouchon de circulation causé par une mauvaise gestion de zones de constructions. Notre chauffeurs se transforme graduellement en fou au volant et zigzag partout, klaxonne comme s’il jouait du tam tam, il ne semble avoir aucune crainte et passe partout. C’est assez épeurant, le seul réconfort c’est la ceinture de sécurité.
En route on peut lire dans le Lonely Planet la section historique sur le Vietnam. Un bien petit pays qui depuis tous les temps vit la guerre pour ne pas se faire envahir. Le Chinois, les Français, puis les Américains. Un pays divisé en deux : le nord communiste et le sud démocratique. Aujourd’hui il tente d’être unifier, mais les cicatrices sont profondes. Un homme, Ho Chi Min (oncle Ho) est sur tout les billets et est à l’origine du nord communiste. En lisant toutes ces informations on veut alors être plus concilient envers se peuple qui ouvre nouvellement ses portes au monde. On se rend bien compte qu’ils ont une histoire et une culture qui leur est propre et probablement que leurs coutumes nous sont vraiment étrangères. Nous arrivons finalement à bon port il est 20h30. Nous avons fait 25 heures de bus et nous avons survécu!!! On se fait organiser un transport jusqu’à un hotel dans les vieux cartiers d’Hanoi. Est-ce que le 1,5$ pour le trajet est trop cher (car on est 10 dans le mini-van) peu importe, on est affamé, fatigué et on ne rêve que de changer de sous-vêtement et de brosser nos dents.
On s’installe donc et on part à la découvert d’Hanoi. Marché de nuit, petits restaurants où on goutte à nos premiers rouleaux du printemps si typique du pays. On peu enfin décompressé, on est rendu à bon port et on a un toit sur notre tête.
Dès le lendemain on part à la recherche de l’ambassade de la Thaïlande pour avoir un nouveau visa (en prévision de notre retour à Bangkok) Ça nous permet de marcher dans les rues de la ville. C’est vraiment particulier de voir comment les commerçants se regroupe dans les rues pour vendre les mêmes produits. Ainsi il y a la rue des matelas, la rue des sandales, la rues des robes en soie, la rue des faire-parts. Les rues sont très animées, il y a des motocyclettes partout et la signalisation est presque inexistante. Le klaxon est probablement la pièce la plus importante sur leur engin. Le bruit est aggressant et ce n’est pas facile de trouver de la tranquillité. La vieille ville est quand même très intéressante son lac en plein centre la rend charmante. La citadelle avec ses trous formés par des boulets rappelle que c’est une ville qui a vu beaucoup de sang coulé. On va au petit restaurant local, et on expérimente encore une fois la deuxième vitesse du vietnam, on doit payé 2X le prix… On magasine les agences car on veut trouver quelqu’un qui nous permettrait d’aller visiter Sapa (dans le nord ouest) en moto. On réalise bien vite que notre trajet de rêve est non réalisable dans le laps de temps que l’on dispose. Tant pis, on ira en train et on s’organisera sur place.
Le lendemain on va visiter le musé de la guerre. Il est difficile de ne pas y aller puisque le mot guerre colle au Vietnam. C’est intéressant de voir le point de vue des viet congs. On y voit toutes sorte de choses allant de débris d’avions américains, à des tanks russes, des torpilles et des obus. Des photos, des textes des commandants français… bref un bon retour sur la deuxième guerre mondiale et sur la guerre du Vietnam. Suite à cela il est intéressant de chercher un peu partout les cicatrices, les artéfacts de la guerre.
Nous avons ensuite récupérer nos passeports et on est allé voir un spectacle de marionnettes sur l’eau. Un petit spectacle bien sympathique très typique de la région avec orchestre live. Le spectacle démontre des scènes de la vie courante asiatique avec des marionnettes qui rappellent les sentinelles de l’air. On est ensuite sauté dans un taxi pour se rendre à la gare afin de prendre un train de nuit en direction de Sapa.
Le train était parfait! Une cabine avec 4 couchettes climatisées et des lits « soft sleepers ». On partageait notre cabine avec un couple de vietnamiens en visite dans le nord. On était assez surpris car ce train est le train pour touristes et on paie vraiment le gros prix pour être confortable. Cette fois-ci j’ai moi aussi réussi à dormir et sans embûches nous sommes arrivés à Sapa.
Nous avons ensuite récupérer nos passeports et on est allé voir un spectacle de marionnettes sur l’eau. Un petit spectacle bien sympathique très typique de la région avec orchestre live. Le spectacle démontre des scènes de la vie courante asiatique avec des marionnettes qui rappellent les sentinelles de l’air. On est ensuite sauté dans un taxi pour se rendre à la gare afin de prendre un train de nuit en direction de Sapa.
Le train était parfait! Une cabine avec 4 couchettes climatisées et des lits « soft sleepers ». On partageait notre cabine avec un couple de vietnamiens en visite dans le nord. On était assez surpris car ce train est le train pour touristes et on paie vraiment le gros prix pour être confortable. Cette fois-ci j’ai moi aussi réussi à dormir et sans embûches nous sommes arrivés à Sapa.